« J’ai appris que tu t’es trouvé un joli poste. Ailleurs…Cette discussion que nous avions toujours effleurée sur ton potentiel et tes contraintes, comme je la revis. Tu l’initiais et je me dérobais.
Tu m’avais demandé comment ça se passerait si tu avais une vie à côté du travail? Impensable me disais-je à l’époque. N’étions-nous pas en train d’augmenter la croissance de notre entreprise ? Qui avait le temps de vivre?
Tu avais raison une embauche parfois ça marche et parfois ça blesse. Je t’ai souvent dit que tu ne trouverais pas mieux ailleurs. J’en étais tellement certain.e à l’époque.
Le temps me fixe et me nargue avec son refrain entêtant de regrets.
Ce n’est pas grave je trouverai quelqu’un. Ce ne sera pas toi… Mais quand je trouverai cette personne, je changerai.
Cette personne aura le droit d’être curieuse.
Cette personne aura le droit de douter.
Cette personne aura le droit d’échouer.
Cette personne aura le droit de recommencer.
Au revoir, je te souhaite le meilleur. »
Je suis tombée sur une chanson d’Adèle hier.. Et voilà j’écris ce genre de choses.
Lors de sessions de formation, je perçois des traitements différents selon le genre, selon la mobilité ou selon le degré de validité.
Former, selon moi c’est :
Calliroxe
PARIS
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